Peligro… MAL27
Previously en la Hidalgo… dirección Tasqueña 🚇, Mexican authorities ignore their own promises to provide mental health care for trauma victims, unofficially, first-hand witnesses overheard a public outreach agent from the Mexican National Guard recommend to a Post Traumatic Stress victim to seek the ‘charisma’ of the nearest “curandera” or, « Madame Ruth, you know, that gypsy with the gold-capped tooth » and, very important KNOT to forget to request a “clean energy” tax deduction receipt for a “limpia 🥚🥛🧄🧙🏿♀️ session,” period!
Todos tus muertos:
Note to editors:
we [the staff] are experiencing signal interference from across la rue du NIL, and because Roger Pérez 🇵🇪 once witnessed that blood-curdling shriek 📡 blaring out of the FM freq’s on 📻 of the kitchen floor, when Pablo from Segovia, Spain, (no-less) went straight to hell, it happened on the very day that Pablo was about to be cremated. Little Ol’ i, (Armando Segovia) mention the artist’s name because of the “transmission” of that departure, however, i must be emphatically clear that this post is not about him (Roger, that…), it is nonetheless, about Lorenzo, dit Lencho, en Castellano del bueno.
Vamos pues, a hacer una “limpia” para la puta “causa »…
Fabrice, dit Fabrizio. Fabrizio l’élancé, le rasta, le séropo qui parfois refuse de se soigner. Il ne veut plus vivre, dit-il, plus passer ses journées sur un trot- toir. Il s’invective. Il se révolte. Le virus s’active. Il est hospitalisé, scanner, analyses, médication de pointe. L’administration administre. Le patient requin qué peut sortir vers son infortuné trottoir au coin de la rue du Nil, rue bobo du quartier s’il en est, insolemment dénommée « salaire moyen 5 000 € ». Élégant, rebelle, digne, Fabrizio est estimé dans les parages. Le bistrot d’en face sert des cafés spéciaux, capables d’arriver chauds de l’autre côté de la rue. Stéphane
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s’installe souvent aux côtés de Fabrizio. Les nouvelles sont bonnes. Ils ont un studio en perspective. Ils ont fait leurs calculs, les aides, le RSA et les reve-nus de leur « travail » (faire la manche) : en partageant le loyer, ils assurent. Dernière conversation, dernière « mise à l’abri », Fabrizio décède à l’hôpital. Il ne s’évapore pas pour autant comme tant d’autres, au-dessus de sa place, son ombre s’attarde. Sur le mur, son portrait s’affiche, seules les pluies d’ouest auront raison de la photo.
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